Une autre vision du basket et du CSP Limoges


TITANIC

24/01/2016 09:16
TITANIC

Once upon a time....

Il était une fois....

Un navire de belle facture avec à sa tête un capitaine ayant fait ses classes sur une traversée identique l'année précédente, et, malgré des embûches et des accrocs dans l'équipage, avait atteint l'île du Sacre après avoir lutté contre des barbares de tribus de la même contrée que lui.

Il reprit son parcours la nouvelle année venue, et le départ ressemblait à s'y méprendre à une aimable (qui a osé dire et son orchestre?) régate sur une mer d'huile. Oh, il essuya bien des petits grains et anicroches avec notamment une tribu normande.

Ce qui lui posa le plus de problème furent les hordes teutonnes, russes, israéliennes. Là, il faut avouer que l'équipage ne se montra pas à la hauteur.

On mit ça sur le compte d'une trop grande inexpérience de l'équipage.

Il faut dire que l'an passé, bien que fortes têtes, ils avaient réussi à trouver un semblant de cohésion en vue des côtes. Et cela leur avait réussi, malgré une navigation faîte de passage très calmes et de grands creux comme seuls les océans peuvent en générer.

Pour ne pas avoir à renouveler ce genre d'expérience de management fait de bric et de broc, l'armateur décida de refondre l'équipage à 70%.

Et, là, comme le début du conte vous l'expliquait, tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Bon, c'est bien beau tout ça, mais les trains qui arrivent à l'heure n'intéressent plus grand monde, et surtout, pour écrire des chroniques sur un site de basket (non professionnel, au grand regret d'un dingue chalonnais de la syntaxe), je dois admettre qu'il est plus amusant d'avoir un grand corps malade plutôt qu'un petit corps sain.

Les premiers soubresauts de ce commencement d'ébauche de début de naufrage étaient prégnants même sur la mer d'huile.

Il faut admettre que quelques-unes des batailles ne devaient la victoire qu'à la faiblesse insigne de l'opposant.

Mais on continuait toujours à se cacher la vérité.

Un premier contretemps, puis un deuxième, et alors, l'engrenage fatal se mit en route.

Bien longtemps après, on se demande encore comment on a pu en arriver là.

A vrai dire, se défendre en utilisant des moyens indignes de ce niveau là d'exigence, et ne pas avoir de moyen de réponse adéquats, ben, faut pas s'étonner....

Donc, ce qui devait arriva, le navire se retrouva avec une voie d'eau difficile à colmater.

Est-ce-qu'il sombra définitivement?

Une victoire face à une horde de Normands sembla donner un peu d'espoir. mais elle était en trompe l'oeil.

Oh, bien sûr, le fier artilleur NBC (plus prompt à se rendre intéressant sur des mers locales qu'au coeur d'océan éloignés) et le capitaine courage Adrien firent tout pour rendre cette victoire plus belle qu'elle n'était en réalité

Attends un peu afin de connaître la suite des aventures.

Mais une chose est sûre.

Le capitaine me paraît bien absent, et l'orchestre joue une mélopée de plus en plus triste.

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